LE VERDICT

Journal des étudiants en droit de l'Université Laval

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Sans oui, c'est non

November 11, 2017 by Rodrigo Olmos

Le début de la session automnale et les fameux rites d’initiation étudiants furent marqué par la nouvelle campagne de l’université : Sans oui, c’est non. Un sujet qui prend d’autant plus toute son importance au vue des récents scandales apparu dans notre culture québécoise et internationale. Que ce soit le cas Weinstein, le cas Salvail, le cas Rozon, le cas Lauzon ou le mot clic « me too » qui prend toute son ampleur sur les réseaux sociaux, les cas de violence à caractère sexuelle n’ont pas fini de nous envahir. La vague de dénonciation récente sont parties de l’international pour venir nous happer de plein fouet. Personne n’a su rester impassible face aux histoires qui ont teinté notre actualité et qui continue de le faire. Je ne saurais assez préciser l’importance que toutes ses dénonciations ont eue sur les victimes qui continue de faire entendre leurs voix. C’est d’ailleurs dans un sentiment de soutien et de dénonciation que la campagne à grand déploiement de l’Uuniversité Laval « Sans oui, c’est non » est mise sur pied. Cette campagne se joint à celle de nombreuses universités dans toute la province. C’est grâce à divers moyens de sensibilisation auprès des étudiants et de bénévoles présent sur le site, que la campagne fait sa place au cœur des diverses facultés. L’université offre de nombreux services pour permettre autant aux victimes, qu’aux personnes qui désirent être formés et intervenir face à ce sujet, d’obtenir de l’aide et grands nombres d’informations. Les services offerts peuvent être aussi  simples que du bénévolat lors d’une activité de la campagne, et aussi profonde que la dénonciation ou des consultations psychologiques. Comme mentionné plus haut, des formations de bénévoles, de témoins actifs et même une formation guide sur les violences sexuelles sont offertes à tous. Diverses ressources sont d’ailleurs en place à l’université pour permettre aux victimes ou aux témoins de réagir rapidement face à ses situations et d’obtenir de l’aide, par exemple un service de psychologie ou le service de prévention et de sécurité en cas d’urgence. 
 
Il faut voir dans cette campagne l’opportunité de s’imcpliquer et de soulager grands nombres de victimes. L’actualité pousse d’ailleurs bon nombre de personnes à prendre position face à ce sujet et ce mouvement ne doit pas s’arrêter ici. 
 
N’hésitez pas à dénoncer : Centre de prévention et d’intervention en matière de harcèlement  UL: 418 656-7632;  SQ : dénoncez à votre poste de police local ou 1-800-6594264. 
 
 

November 11, 2017 /Rodrigo Olmos
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