Stein Monast, un cabinet où s’épanouir
Par Philippe Lavoie-Paradis
PUBLIREPORTAGE | La frénésie de la Course aux stages étant à nos portes, il importe aux étudiants comme aux cabinets d’avocats de révéler leur personnalité en vue de trouver le partenaire idéal dans cette valse à trois temps. Pour ce faire, Stein Monast a reçu Le Verdict dans ses bureaux de la rue Dalhousie pour un agréable entretien avec Me Valérie Lachance, avocate en droit corporatif et commercial, et Me Gilles-Étienne Lemieux, avocat en litige civil et commercial.
Diplômés collégiaux en sciences humaines et en sciences de la nature, leur amour du droit s’est découvert plutôt tardivement. Me Lachance, Barreau 2017, a d’abord été initiée au milieu des affaires par divers échanges avec des gens de son entourage. Après ses études à la Faculté de droit de l’Université Laval, et la réussite des examens du Barreau, elle a préféré le secteur des affaires pour son importance dans la prévention des litiges et les conseils au client qui se font d’égal à égal.
De son côté, Me Lemieux, Barreau 2015, a complété un baccalauréat en pharmacologie en vue de travailler en développement du médicament. À la fois désenchanté par les perspectives d’emploi qui l’auraient confiné dans un laboratoire et intrigué par la perspective du droit dans le domaine pharmaceutique, il s’est lancé à pieds joints dans l’aventure qu’est le baccalauréat en droit à l’Université Laval. Il a en définitive préféré la pratique du litige pour sa possibilité d’approfondir ses connaissances dans plusieurs domaines.
Curiosité et sens pratique
Le métier d’avocat requiert une curiosité intellectuelle, autant dans les secteurs associés au litige que dans les secteurs associés au droit des affaires. Premièrement, il faut porter une attention aux activités et aux besoins du client, connaître sa vision et comprendre ses enjeux quotidiens afin de mieux le conseiller juridiquement. Deuxièmement, il importe de connaître et comprendre son dossier sous tous ses angles puisque l’un des objectifs de la pratique est de présenter une position et les arguments qui la soutiennent pour tenter de convaincre. Cette curiosité n’aide pas qu’à parfaire des connaissances théoriques, mais également un sens pratique : « Le sens pratique, ça ne s’apprend pas à l’école. C’est ce qu’on dit à l’interne: ça prend cinq ans à comprendre un peu comment ça fonctionne et développer des réflexes en droit des affaires [...] d’où l’importance d’avoir des mentors et des avocats plus expérimentés qui sont là pour l’enseignement et qui prennent le temps de nous former », mentionne Me Lachance.
Tous deux produits de la fameuse course, Me Lachance et Me Lemieux ont été attirés par l'accessibilité des avocats d'expérience chez Stein Monast et l'ambiance de travail où les valeurs d'entraide sont primordiales. Il n’y existe aucune hiérarchie, en ce sens qu’un stagiaire et un associé sont respectés de la même façon. L’on y ressent une collégialité hors pair qui a pour conséquence de vite faire tomber le vouvoiement. C’est le côté humain qui est en avant-plan pour ce cabinet de la Capitale-Nationale.
D’après les deux avocats, le cabinet québécois n’a rien à envier aux autres. « J’assimile Stein Monast à un grand cabinet qui a un peu plus la personnalité d’un petit cabinet : le côté humain est important et, du côté juridique, nous n’avons pas des dossiers d’une moins grande envergure pour autant », s’enthousiasme Me Lemieux. Au contraire, on y retrouve des gens professionnels et humains qui travaillent dans des dossiers importants, spécialisés et diversifiés pour des clients qui le sont tout autant. « On ne s’enfle pas la tête à travailler dans de plus gros dossiers. On ne change pas notre attitude pour autant et on le fait dans un grand plaisir de travailler ensemble. » ajoute-t-il.
Une croissance remarquable
Le cabinet se spécialise dans une vaste gamme de secteurs classiques, tels que le droit des affaires, le droit des assurances, le droit du travail et la responsabilité civile et professionnelle, pour ne nommer que ceux-là. Également, afin de mieux répondre à la demande grandissante de leur clientèle d’affaires touchée par la sévère pénurie de main-d’œuvre, ce cabinet innovateur s’est nouvellement formé une expertise en droit de l’immigration. Il y a des besoins criants, remarquent Me Lachance et Me Lemieux. De l'assistance est nécessaire autant du côté des employeurs que des potentiels travailleurs à l'étranger pour être guidés à travers les processus.
Bien conscient de sa croissance enviable, Stein Monast peut se targuer d’avoir embauché au-delà d’une vingtaine de personnes depuis 2018. On y retrouve une bonne équipe de plus de soixante-dix avocats et notaires, dont de jeunes avocats qui constituent une belle relève, observe Me Lachance.
L’incontournable course
Les deux avocats recommandent à quiconque ayant un intérêt marqué pour la pratique privée de participer au processus de la Course aux stages. Qu’on le veuille ou non, ladite course est désormais la principale porte d’entrée pour pratiquer en grand cabinet au Québec, notent-ils. Un stage signé Stein Monast permet de toucher à moult domaines du droit et il est toujours possible d’accoster un avocat œuvrant dans un domaine précis pour être impliqué dans l’un de ses dossiers.
Même si, au final, l’étudiant n’obtient pas de stage, le simple fait de participer à l’aventure pourra permettre de se faire un nom qui restera en tête si l’étudiant est apprécié. De surcroît, il importe, selon Me Lachance et Me Lemieux, d’y participer sans égard au dossier académique. En effet, différents facteurs influencent la cote et les recruteurs en sont bien conscients : le secret réside dans la façon de présenter son dossier, incluant ses points forts et ses anicroches. Bref, tout dossier d’entrevue bien préparé peut être valorisé.
Selon Me Lemieux, un candidat étant avenant et articulé, qui présente beaucoup d’entregent, qui démontre une volonté d’approfondir ses connaissances dans des domaines variés aura autant l’opportunité d’obtenir un stage chez Stein Monast que quelqu’un plus intraverti, mais possédant un dossier académique supérieur. En effet, comme le précise Me Lachance : «Ici, particulièrement, je pense que c’est encore plus vrai, les notes ne sont pas la chose la plus importante… ultimement, c’est l’individu».