Travailler chez Stein Monast, une histoire de collaboration
Par Andréa Lampron, publié le 29 janvier 2021
PUBLIREPORTAGE | Lorsque vous vous représentez un avocat, quelle est la première chose qui vous vient à l’esprit? À travers le regard de Me Félix-Antoine Blais et Me Emmanuelle-Salambo Deguara du cabinet Stein Monast, il vous sera démontré que, malgré les idées parfois préconçues, c’est une profession humaine et diversifiée. Il règne décidément une ambiance chaleureuse et d’entraide dans ce cabinet situé au cœur de la ville de Québec, où les collègues deviennent des amis.
Les séries cultes ont forgé des images assez tenaces au sujet des avocats. Pour les adeptes de Suits, ce sont les cinglantes réparties, les intenses argumentations ainsi que l’atmosphère compétitive constante entre collègues pour déterminer qui percera dans ce milieu. Pour les fervents partisans des séries québécoises, telles que Ruptures et Toute la vérité, ce peut être la charge de travail constante, les piles de dossiers desquelles il nous semble ne jamais y voir de fin.
Pour Mes Blais et Deguara, respectivement spécialisés en droit des transports et droit des affaires, c’est la collaboration qui est au cœur de leur pratique. En entrevue, ils n’évoquent pas du tout la compétition. À l’inverse de ce que nous visionnons dans les séries télévisées, les collègues et associés chez Stein Monast gardent la porte de leur bureau grande ouverte, que la question provienne d’une personne travaillant dans le même domaine qu’eux ou non.
De ce fait, Me Blais assure pouvoir compter sur l’appui de ses collègues s’il a besoin d’une information concernant une branche de droit plus éloignée de la sienne, par exemple en droit du travail. « Tout le monde collabore pour faire avancer les dossiers, l’esprit de collégialité au sein du cabinet nous permet d’avoir accès à de beaux mandats et de développer des compétences variées. » Diplômé de l’Université Laval en 2017, il concentre notamment sa pratique en matière de résolution des infractions relatives à la conduite de véhicules lourds aux termes des lois et règlements fédéraux et provinciaux. À ce titre, il conseille et agit pour les propriétaires, les exploitants et les conducteurs relativement à leurs opérations au Canada et à l’étranger. De plus, grâce à l’équipe qui l’entoure, il est amené à travailler dans la gestion de litiges commerciaux, pénaux et réglementaires, de même que dans les aspects contractuels et administratifs du transport de personnes et de marchandises.
De son côté, Me Deguara consacre une grande partie de sa pratique en droit des valeurs mobilières et en droit transactionnel plus généralement. Dans le cadre de sa pratique, elle est amenée à s’impliquer activement dans des dossiers de fusion et d’acquisition d’entreprises, de réorganisations corporatives et de financement privé et public. Le cabinet l’encourage également à continuer de s’intéresser aux questions entourant le démarrage d’entreprises et à accompagner les entrepreneurs lors de cette étape importante. En se spécialisant dans le secteur des valeurs mobilières, Me Deguara prend goût à coordonner, avec l’aide de son équipe, des dossiers complexes et stimulants et dont les intervenants sont variés : émetteurs assujettis, bourses, institutions financières, organismes de régulation en valeurs mobilières, etc. La communication entre les divers intervenants est un élément clé pour assurer le bon déroulement des dossiers. « Avec la force de l’expérience vient les responsabilités. Chez Stein Monast, on ne stagne jamais », affirme la bachelière en droit en 2018, de l’Université Laval également.
Un milieu où progresser
La confiance des associées est au centre des priorités du cabinet. De belles opportunités se présentent quotidiennement par l’octroi de mandats complexes adaptés aux compétences de chacun.
« On nous confie rapidement des mandats où l’on échange avec les clients de manière régulière, sans avoir nécessairement besoin de passer par l’associé qui nous donne le mandat », explique Me Blais. L’immense diversité de ses mandats crée un horaire tout sauf routinier. Il préserve ainsi sa motivation puisqu’il a l’occasion de constamment se dépasser et d’apprendre. La flexibilité qu’offre sa pratique dans l’aménagement de son emploi du temps est aussi un avantage majeur pour cet adepte de surf.
Mes Blais et Deguara apprécient grandement la gratification de savoir que, malgré le fait qu’ils soient encore de « jeunes avocats » au sein de leur équipe respective, ils peuvent tout de même œuvrer à développer la relation client avec les associés.
Ayant toujours été attirée par le milieu des affaires et des finances, Me Deguara comble parfaitement ses champs d’intérêts dans le cadre de sa relation de conseillère juridique spécialisée en valeurs mobilières. « J’aime beaucoup la structure du cabinet, où nous ressentons très tôt que nous devenons non seulement des atouts essentiels à nos équipes respectives, mais également où nos mentors prennent le temps de nous écouter et de nous guider afin de nous permettre de nous accomplir personnellement et professionnellement. Mon objectif serait de devenir associée », confie la candidate à la Maîtrise en administration des affaires (MBA). Ses études à temps partiel lui sont bien utiles dans son domaine où la lecture d’états financiers et de rapports de gestion est monnaie courante. « Il y a plusieurs considérations autres que légales qui doivent être prises en compte pour bien servir nos clients dans le cadre de leurs transactions. Mes études de deuxième cycle me permettent donc de mieux comprendre et réagir eu égard aux besoins de nos clients », ajoute-t-elle. La passionnée de vélo mentionne également sa participation à une mission commerciale au Pérou durant son baccalauréat et une mission économique en Inde durant son stage du Barreau, deux expériences s’étant révélées extrêmement enrichissantes et au bénéfice de son parcours professionnel.
Apporter sa contribution au développement de sa branche de droit illustre l’une des valorisations les plus recherchées d’un avocat, en possédant les capacités nécessaires d’y laisser sa marque. « Nous avons cette impression de faire partie d’une famille. Nous grandissons dans cette famille et un fort sentiment d’appartenance s’y développe. […] Notre ambiance de travail est conviviale et la rigueur de nos collègues nous tire vers le haut », décrit Me Blais. Il vise également le statut d’associé, vantant au passage le bon encadrement offert au sein du cabinet.
La course si attendue
Ayant amorcé son parcours scolaire en sciences de la nature pour travailler dans le domaine de la santé, c’est finalement vers le droit que Me Félix-Antoine Blais s’est tourné. « J’avais en tête que le droit ouvrait beaucoup de portes et qu’il pouvait m’apporter énormément de perspectives d’emplois », se rappelle celui qui a éprouvé un réel coup de cœur pour les divers débouchés possibles offerts par le programme. Il a participé à la Course aux stages au moment où il se sentait le plus prêt, lors de sa troisième année au baccalauréat.
«Montrez vos couleurs, ce qui vous passionne, pas juste votre parcours scolaire. Il n’y a pas de mauvaise candidature [...] Pour être un bon avocat, il faut quelqu’un d’autonome ayant à coeur le meilleur intérêt de ses clients. Il faut aussi de la rigueur et de la discipline.» : voilà les réflexions du jeune avocat pour les étudiants qui voudraient se lancer dans la course. L’amabilité est aussi une qualité des plus recherchées.
Il n’est pas rare que ce que l’on présumait juste dans cette profession est en fait aux antipodes de nos conceptions initiales. Comme l’a souligné Me Emmanuelle-Salambo Deguara : « Je suis devenue passionnée par le droit seulement lorsque j’ai débuté mon été étudiant chez Stein Monast, où on m’a rapidement invitée à participer activement dans des dossiers d’envergure, à rencontrer les clients et à faire valoir mes opinions juridiques, le tout dans une ambiance de travail axée sur la rigueur, la performance et aussi l’équilibre. » Étant donné que c’est un milieu de travail vaste et souvent méconnu pour ceux qui n’y font pas carrière, il importe de bien se renseigner et d’en discuter avec des sources fiables, soit des professionnels. De cette façon, l’on évite ainsi la désinformation et les idées préconçues souvent véhiculées par les émissions de télévision.
Une chose demeure certaine : chez Stein Monast, persévérance rime avec bonne ambiance de travail. C’est un cabinet qui met non seulement en valeur l’épanouissement personnel de ses employés, mais également l’avancement collectif du bureau par le biais de l’entraide entre collègues. Travaillant ensemble, c’est ainsi qu’ils avancent et réussissent à développer l’entreprise. C’est une carrière humaine, où chaque avocat œuvre dans des conditions propices à l’efflorescence de ses aptitudes singulières.