Me Antoine Leclerc (Barreau 2015) est un passionné de droit des affaires. Il s’y destinait déjà dès le début de son parcours universitaire, et il a su mettre rapidement en branle l’énergie nécessaire pour atteindre ses objectifs. Il s’est notamment impliqué dans le Club droit et affaires de l’Université Laval à titre de vice-président, finances et à titre de président, respectivement lors de la deuxième et de la troisième année de son baccalauréat, ce qui lui a permis de se familiariser avec la réalité du terrain et d’entrer en contact avec ses futurs confrères. Cette mise en contact avec le la réalité de la pratique privée et du monde des affaires s’est effectivement avérée être un atout intéressant d’un point de vue personnel et professionnel. « Les cours liés à la pratique du droit des affaires ne sont pas exactement le reflet de ce qu’on fait dans le cadre de notre pratique en droit des affaires, bien qu’ils nous permettent d’assimiler une base théorique nécessaire », nous explique Me Leclerc, en riant. « Lorsqu’on arrive au cabinet, fraichement sorti du Barreau, les réflexes ne sont pas nécessairement tous là. Les mentors deviennent donc rapidement nos plus grands alliés. D’avoir déjà été en contact avec eux, lors de conférences ou dans le cadre de certains dossiers au cours de l’été étudiant précédant le stage, ça facilite beaucoup le travail », poursuit le jeune avocat.
La principale raison qui l’a amené à choisir Stein Monast est sans contredit l’équipe de travail. Dès la première entrevue, il a rencontré des personnes ouvertes et cordiales avec qui la connexion s’est faite presque instantanément. Encore aujourd’hui, il bénéficie de ce climat d’ouverture et de confiance. En effet, le portrait que nous fait Me Leclerc de son milieu de travail se retrouve à des lieux de l’image froide et impersonnelle que l’on s’imagine parfois. « Le cabinet témoigne d’une belle confiance envers les jeunes. On interagit directement avec les clients et on nous implique concrètement dans les dossiers. Dès le stage, on nous offre des opportunités de s’initier au développement des affaires du cabinet », nous explique-t-il. « L’équipe fait vraiment en sorte qu’on se sente membre à part entière, ce qui propulse indéniablement notre développement professionnel », poursuit-il. Par ailleurs, le fait que le cabinet n’impose pas un stage rotatif a également été pour lui un atout majeur, car cela lui a permis de plonger directement dans ce qui le passionne, tout en ayant le loisir d’expérimenter d’autres secteurs du droit rejoignant ses intérêts.
Lorsqu’on lui demande à quoi ressemble une journée typique au bureau, on comprend vite que la routine n’existe pas. En droit des affaires, les clients œuvrent presque tous dans des champs d’expertise distincts, alors il faut toujours en apprendre plus, s’informer sur de nouvelles industries et s’intéresser aux affaires de son client. Par conséquent, il n’y a pas une journée qui se ressemble. On peut aisément passer d’un appel conférence à la rédaction d’un contrat commercial en moins d’un instant. Toutefois, comme il nous l’explique, cette effervescence se transforme rapidement en source d’énergie.
Finalement, en vue du recrutement, Me Leclerc insiste sur la nécessité de rester soi-même. Les cabinets ne recherchent pas nécessairement quelqu’un qui s’insère parfaitement dans un moule, mais plutôt un futur collègue de travail. L‘une des qualités indispensables, conclut-il, c’est de faire preuve d’une grande curiosité intellectuelle.